COURS DE MODULE DE AUDIT SEMESTRE 6
PRISE DE NOTE
L'audit est un examen réalisé par une personne professionnelle et indépendante.
L’audit se porte sur les informations et pas sur des personnes.
Parmi les les rôles d’auditeur évaluation des procédures.
Pourquoi un auditeur est professionnel ?
Parce qu’il respecte une démarche.
Sincérité ; l’auditeur a de bon foie
Choix des critères :
Respecter le plan
Est-ce qu’il existe un financement pour les investissements.
Choisir des modalités techniques.
Critères de développement durables.
Est-ce que les moyens utilisés respectent l’environnement.
Fonction des ressources humaines.
Les formations parapporrt au chiffre d’affaire.
Qui est chargé de la formation ??
Evaluer le climat social (relations sociales
Rémunérations ; politique salariale cohérente / variabilité des salaires
Fonction commerciale :
Est-ce qu’il existe un budget de publicité.
Le montant de publicité par rapport au chiffre
D’affaire
L’efficacité de publicité.
Fonction de besoin ;
définir le besoin
vérification de besoin.
collecte des informations.
choix des fournisseurs.
Relancèrent des fournisseurs : suivre des commandes.
Audit financier
Audit objectif n’est pas selon le vouloir et la disponibilité du professionnel mais selon une démarche précisée.
Délégation e supervision :
Déléguer des tâches et contrôler les délégués.
Utilisation des travaux affectés par audit interne :.
Est-ce que l’’entreprise respecte les recommandations d’auditeur interne ou non ?
Examen analytique :
Est-ce que le secteur d’activité de l’entreprise influence la mission d’audit ?
L’audit se porte sur les informations et pas sur des personnes.
Parmi les les rôles d’auditeur évaluation des procédures.
Pourquoi un auditeur est professionnel ?
Parce qu’il respecte une démarche.
Sincérité ; l’auditeur a de bon foie
Choix des critères :
Respecter le plan
Est-ce qu’il existe un financement pour les investissements.
Choisir des modalités techniques.
Critères de développement durables.
Est-ce que les moyens utilisés respectent l’environnement.
Fonction des ressources humaines.
Les formations parapporrt au chiffre d’affaire.
Qui est chargé de la formation ??
Evaluer le climat social (relations sociales
Rémunérations ; politique salariale cohérente / variabilité des salaires
Fonction commerciale :
Est-ce qu’il existe un budget de publicité.
Le montant de publicité par rapport au chiffre
D’affaire
L’efficacité de publicité.
Fonction de besoin ;
définir le besoin
vérification de besoin.
collecte des informations.
choix des fournisseurs.
Relancèrent des fournisseurs : suivre des commandes.
Audit financier
Audit objectif n’est pas selon le vouloir et la disponibilité du professionnel mais selon une démarche précisée.
Délégation e supervision :
Déléguer des tâches et contrôler les délégués.
Utilisation des travaux affectés par audit interne :.
Est-ce que l’’entreprise respecte les recommandations d’auditeur interne ou non ?
Examen analytique :
Est-ce que le secteur d’activité de l’entreprise influence la mission d’audit ?
-La confirmation : circulation
Contrôle physique (immobilisation, stocks)
Apprécier le bienfondé de l’entrepris/ est ce que a situation financière de l‘entreprise lui permet de réaliser les opérations (rationalisation)
Vérifier le cas échéant que la société a bien constitué les provisions
Les charges dés quelles sont probables
Produits dès la réalisation
Libellés incohérents (achat d’une machine) classe -6
Solde débiteur (découvert)
Les écarts significatifs
Est-ce que le niveau de la production augmente
Est-ce que e chiffe d’affaire augmente
Analyse des tendances (longue période)
Commissaire aux comptes est un expert-comptable a une expérience de 5 ans
Certification pur et simple (régularité et sincérité)
Lettre d confirmation envoyée par l’entreprise et reçus par auditeur
Contrôle physique (immobilisation, stocks)
Apprécier le bienfondé de l’entrepris/ est ce que a situation financière de l‘entreprise lui permet de réaliser les opérations (rationalisation)
Vérifier le cas échéant que la société a bien constitué les provisions
Les charges dés quelles sont probables
Produits dès la réalisation
Libellés incohérents (achat d’une machine) classe -6
Solde débiteur (découvert)
Les écarts significatifs
Est-ce que le niveau de la production augmente
Est-ce que e chiffe d’affaire augmente
Analyse des tendances (longue période)
Commissaire aux comptes est un expert-comptable a une expérience de 5 ans
Certification pur et simple (régularité et sincérité)
Lettre d confirmation envoyée par l’entreprise et reçus par auditeur
Le risque est plus élevés dans les cycles d’exploitations longs :
Les huit différences entre l’audit interne et l’audit externe :
1.Le statut de l’auditeur :
C’est une évidence mais qui est fondamentale. L’auditeur interne appartient au personnel de l’entreprise, l’auditeur externe (cabinet international ou commissaire aux comptes) est dans la situation d’un prestataire de services juridiquement indépendant.
2.Les bénéficiaires de l’audit :
L’auditeur interne travaille pour le bénéfice des responsables de l’entreprise : managers, direction générale, éventuellement comité d’audit. L’auditeur externe certifie les comptes à l’intention de tous ceux qui en ont besoin : actionnaires, banquiers, autorités de tutelle, clients et fournisseurs, etc.
3.Les objectifs de l’audit :
Alors que l’objectif de l’audit interne est d’apprécier la bonne maîtrise des activités de l’entreprise (dispositifs de contrôle interne) et de recommander les actions pour l’améliorer, celui de l’audit externe est de certifier la régularité, la sincérité, l’image fidèle, des comptes, résultats et états financiers.
Observons que pour atteindre ces objectifs les auditeurs externes auront, eux aussi, à apprécier des dispositifs de contrôle interne, ceux qui précisément doivent en principe garantir les trois caractéristiques fondamentales ci-dessus énoncées : ce seront donc des dispositifs de nature essentiellement financière, comptable et quantitative.
Le contrôle interne apparaît donc comme un moyen pour l’audit externe alors qu’il est un objectif pour l’audit interne. Ainsi que nous l’avons déjà souligné dans le chapitre précédent, cette différence entre les deux métiers est fondamentale, il en résulte des approches dissemblables, qu’il serait vain de vouloir opposer car elles ne poursuivent pas les mêmes buts et ne retiennent pas les mêmes notions. Ainsi en est-il du « seuil de signification », à juste titre utilisé par les auditeurs externes dans leurs travaux et qui leur permet d’éliminer les erreurs dont l’importance relative ne remet pas en cause le résultat. Cette approche rationnelle dans laquelle on compare les sommes en litige au total du Bilan ou au total du chiffre d’affaires est totalement étrangère à l’audit interne. Dans l’appréciation de la maîtrise des affaires, la révélation par test d’un dysfonctionnement, d’une erreur, si minimes soient-ils n’ont pas à être comparés aux ordres de grandeurs comptables – si tant est que cela soit possible – ils peuvent être l’indice d’un désordre grave, encore potentiel, mais auquel il va falloir remédier. L’objectif de l’auditeur interne n’est pas centré sur un point précis du temps réel, il prend également en compte les risques potentiels.
Ces différences quant aux objectifs commandent et gouvernent toutes les autres :
• ce sont elles qui justifient le statut ;
• ce sont elles qui différencient les bénéficiaires.
4.Le champ d’application de l’audit :
Eu égard à ses objectifs, le champ d’application de l’audit externe englobe tout ce qui concourt à la détermination des résultats, à l’élaboration des états financiers et rien que cela ; mais dans toutes les fonctions de l’entreprise.
L’auditeur externe qui limiterait ses observations et investigations au secteur comptable ferait œuvre incomplète. Les professionnels le savent bien qui explorent toutes les fonctions de l’entreprise et tous les systèmes d’information qui participent à la détermination du résultat et cette exigence est de plus en plus grande au fur et à mesure que se développent les saisies à la source.
Le champ d’application de l’audit interne est beaucoup plus vaste puisqu’il inclut non seulement toutes les fonctions de l’entreprise, mais également dans toutes leurs dimensions. Ainsi, porter une appréciation technique sur l’entretien de tel matériel de fabrication ou apprécier qualitativement les modalités de recrutement de l’encadrement est tout à fait dans le champ d’application de l’audit interne et en dehors de celui de l’audit externe. Toutefois, ce dernier est concerné par l’entretien ou le recrutement dans leurs dimensions financières.
5.La prévention de la fraude :
L’audit externe est intéressé par toute fraude, dès l’instant qu’elle a, ou est susceptible d’avoir, une incidence sur les résultats. En revanche, une fraude touchant, par exemple, à la confidentialité des dossiers du personnel, con cerne l’audit interne, mais non l’audit externe.
6.L’indépendance de l’auditeur :
Il va de soi que cette indépendance n’est pas de même nature. L’indépendance de l’auditeur externe est celle du titulaire d’une profession libérale, elle est juridique et statutaire ; celle de l’auditeur interne est assortie des restrictions analysées au chapitre précédent.
7.La périodicité des audits :
Les auditeurs externes réalisent en général leurs missions de façon intermittente et à des moments privilégiés pour la certification des comptes : fin de trimestre, fin d’année. En dehors de ces périodes, ils ne sont pas présents, sauf le cas de certains grands groupes dont l’importance des affaires exige la
présence permanente d’une équipe tout au long de l’année, laquelle équipe grossit considérablement en période d’arrêté des comptes.
L’auditeur interne travaille en permanence dans son entreprise sur des missions planifiées en fonction du risque et qui l’occupent avec la même intensité quelle que soit la période. Mais observons également que l’auditeur externe est en relation avec les mêmes interlocuteurs dans les mêmes services, alors que l’auditeur interne change sans cesse d’interlocuteur. Du point de vue relationnel c’est donc l’audit externe qui est permanent et l’audit interne périodique.
8.La méthode de l’auditeur :
Les auditeurs externes réalisent leurs travaux selon des méthodes qui ont fait leurs preuves, à base de rapprochements, analyses, inventaires.
La méthode des auditeurs internes est spécifique et originale ; elle sera décrite en détail dans la troisième partie de cet ouvrage.
Les différences entre les deux fonctions sont donc précises et bien connues ;
il ne saurait y avoir de confusion. Mais elles ne doivent pas s’ignorer car l’appréciation et la bonne mise en œuvre de leur complémentarité sont pour l’organisation tout entière un gage d’efficacité.
1.Le statut de l’auditeur :
C’est une évidence mais qui est fondamentale. L’auditeur interne appartient au personnel de l’entreprise, l’auditeur externe (cabinet international ou commissaire aux comptes) est dans la situation d’un prestataire de services juridiquement indépendant.
2.Les bénéficiaires de l’audit :
L’auditeur interne travaille pour le bénéfice des responsables de l’entreprise : managers, direction générale, éventuellement comité d’audit. L’auditeur externe certifie les comptes à l’intention de tous ceux qui en ont besoin : actionnaires, banquiers, autorités de tutelle, clients et fournisseurs, etc.
3.Les objectifs de l’audit :
Alors que l’objectif de l’audit interne est d’apprécier la bonne maîtrise des activités de l’entreprise (dispositifs de contrôle interne) et de recommander les actions pour l’améliorer, celui de l’audit externe est de certifier la régularité, la sincérité, l’image fidèle, des comptes, résultats et états financiers.
Observons que pour atteindre ces objectifs les auditeurs externes auront, eux aussi, à apprécier des dispositifs de contrôle interne, ceux qui précisément doivent en principe garantir les trois caractéristiques fondamentales ci-dessus énoncées : ce seront donc des dispositifs de nature essentiellement financière, comptable et quantitative.
Le contrôle interne apparaît donc comme un moyen pour l’audit externe alors qu’il est un objectif pour l’audit interne. Ainsi que nous l’avons déjà souligné dans le chapitre précédent, cette différence entre les deux métiers est fondamentale, il en résulte des approches dissemblables, qu’il serait vain de vouloir opposer car elles ne poursuivent pas les mêmes buts et ne retiennent pas les mêmes notions. Ainsi en est-il du « seuil de signification », à juste titre utilisé par les auditeurs externes dans leurs travaux et qui leur permet d’éliminer les erreurs dont l’importance relative ne remet pas en cause le résultat. Cette approche rationnelle dans laquelle on compare les sommes en litige au total du Bilan ou au total du chiffre d’affaires est totalement étrangère à l’audit interne. Dans l’appréciation de la maîtrise des affaires, la révélation par test d’un dysfonctionnement, d’une erreur, si minimes soient-ils n’ont pas à être comparés aux ordres de grandeurs comptables – si tant est que cela soit possible – ils peuvent être l’indice d’un désordre grave, encore potentiel, mais auquel il va falloir remédier. L’objectif de l’auditeur interne n’est pas centré sur un point précis du temps réel, il prend également en compte les risques potentiels.
Ces différences quant aux objectifs commandent et gouvernent toutes les autres :
• ce sont elles qui justifient le statut ;
• ce sont elles qui différencient les bénéficiaires.
4.Le champ d’application de l’audit :
Eu égard à ses objectifs, le champ d’application de l’audit externe englobe tout ce qui concourt à la détermination des résultats, à l’élaboration des états financiers et rien que cela ; mais dans toutes les fonctions de l’entreprise.
L’auditeur externe qui limiterait ses observations et investigations au secteur comptable ferait œuvre incomplète. Les professionnels le savent bien qui explorent toutes les fonctions de l’entreprise et tous les systèmes d’information qui participent à la détermination du résultat et cette exigence est de plus en plus grande au fur et à mesure que se développent les saisies à la source.
Le champ d’application de l’audit interne est beaucoup plus vaste puisqu’il inclut non seulement toutes les fonctions de l’entreprise, mais également dans toutes leurs dimensions. Ainsi, porter une appréciation technique sur l’entretien de tel matériel de fabrication ou apprécier qualitativement les modalités de recrutement de l’encadrement est tout à fait dans le champ d’application de l’audit interne et en dehors de celui de l’audit externe. Toutefois, ce dernier est concerné par l’entretien ou le recrutement dans leurs dimensions financières.
5.La prévention de la fraude :
L’audit externe est intéressé par toute fraude, dès l’instant qu’elle a, ou est susceptible d’avoir, une incidence sur les résultats. En revanche, une fraude touchant, par exemple, à la confidentialité des dossiers du personnel, con cerne l’audit interne, mais non l’audit externe.
6.L’indépendance de l’auditeur :
Il va de soi que cette indépendance n’est pas de même nature. L’indépendance de l’auditeur externe est celle du titulaire d’une profession libérale, elle est juridique et statutaire ; celle de l’auditeur interne est assortie des restrictions analysées au chapitre précédent.
7.La périodicité des audits :
Les auditeurs externes réalisent en général leurs missions de façon intermittente et à des moments privilégiés pour la certification des comptes : fin de trimestre, fin d’année. En dehors de ces périodes, ils ne sont pas présents, sauf le cas de certains grands groupes dont l’importance des affaires exige la
présence permanente d’une équipe tout au long de l’année, laquelle équipe grossit considérablement en période d’arrêté des comptes.
L’auditeur interne travaille en permanence dans son entreprise sur des missions planifiées en fonction du risque et qui l’occupent avec la même intensité quelle que soit la période. Mais observons également que l’auditeur externe est en relation avec les mêmes interlocuteurs dans les mêmes services, alors que l’auditeur interne change sans cesse d’interlocuteur. Du point de vue relationnel c’est donc l’audit externe qui est permanent et l’audit interne périodique.
8.La méthode de l’auditeur :
Les auditeurs externes réalisent leurs travaux selon des méthodes qui ont fait leurs preuves, à base de rapprochements, analyses, inventaires.
La méthode des auditeurs internes est spécifique et originale ; elle sera décrite en détail dans la troisième partie de cet ouvrage.
Les différences entre les deux fonctions sont donc précises et bien connues ;
il ne saurait y avoir de confusion. Mais elles ne doivent pas s’ignorer car l’appréciation et la bonne mise en œuvre de leur complémentarité sont pour l’organisation tout entière un gage d’efficacité.
source: Théorie et pratique de l'audit interne Jacques Renard 7ème édition
Pour quoi on doit de choix des critères pour la protection des ressources de l’entreprise ?
Pour rationaliser l’utilisation des ressources de l’entreprise.
Pour protéger les ressources humaines l’entreprise doit :
Appliquer une politique salariale.
Appliquer un politique de motivation.
Pour protéger les ressources de l’entreprise il faut savoir si les procédures sont existé et sont bien élaborée et sont bien respectées.
Aucune loi n’oblige pour un contrôle interne de respecter les dispositions législatives.
Les dispositions législatives imposées sur l’aspect fiscal, comptable et de GRH.
Les causes de non respecter des procédures :
Mauvaise communication
Défaut de la supervision.
Confusion des taches :
Manque du contrôle réciproque entre les responsables des taches /cas de manque de partage de responsabilité / on ne savoir qui fait quoi /
Le fraude est déduit de la complexité des taches entre deux personne soit deux personne internes /soit d’un interne et un tiers.
Exhaustivité : toutes les opérations doivent être enregistrées pour faciliter le contrôle.
Réalité : toutes les opérations enregistrées doivent être réelles et non fictives.
Principe de propriété : on ne doit pas figurer au bilan les éléments qui ne sont pas appartient à l’entreprise comme ils en appartiennent.
Exemple achat des immobilisations a crédit-bail : on ne doit pas le figurer au bilan et on ne doit pas le figurer aux dotations aux amortissements pour éviter que les charges soient trop augmentées.
Evaluation correcte :
Mentionner les valeurs correctes dans les états de synthèses
Exemple /amortissements
Motionner la valeur d’origine dans la première colonne et la valeur d’amortissement dans la deuxième colonne et la valeur nette d’amortissement dans la troisième colonne.
On ne doit pas mentionner une valeur uniquement
Il faut enregistrer des créances clients de montant réel il y a risque d’engagement des clients
On doit respecter ces principes pour assurer une image fidèle du patrimoine d’entreprise.
Principe d’enregistrement dans la bonne période (spécialisation des exercices)
Imputation correcte
Lorsqu’on estime une immobilisation aux charges on trouverait un sur estimation des charges.
Pour rationaliser l’utilisation des ressources de l’entreprise.
Pour protéger les ressources humaines l’entreprise doit :
Appliquer une politique salariale.
Appliquer un politique de motivation.
Pour protéger les ressources de l’entreprise il faut savoir si les procédures sont existé et sont bien élaborée et sont bien respectées.
Aucune loi n’oblige pour un contrôle interne de respecter les dispositions législatives.
Les dispositions législatives imposées sur l’aspect fiscal, comptable et de GRH.
Les causes de non respecter des procédures :
Mauvaise communication
Défaut de la supervision.
Confusion des taches :
Manque du contrôle réciproque entre les responsables des taches /cas de manque de partage de responsabilité / on ne savoir qui fait quoi /
Le fraude est déduit de la complexité des taches entre deux personne soit deux personne internes /soit d’un interne et un tiers.
Exhaustivité : toutes les opérations doivent être enregistrées pour faciliter le contrôle.
Réalité : toutes les opérations enregistrées doivent être réelles et non fictives.
Principe de propriété : on ne doit pas figurer au bilan les éléments qui ne sont pas appartient à l’entreprise comme ils en appartiennent.
Exemple achat des immobilisations a crédit-bail : on ne doit pas le figurer au bilan et on ne doit pas le figurer aux dotations aux amortissements pour éviter que les charges soient trop augmentées.
Evaluation correcte :
Mentionner les valeurs correctes dans les états de synthèses
Exemple /amortissements
Motionner la valeur d’origine dans la première colonne et la valeur d’amortissement dans la deuxième colonne et la valeur nette d’amortissement dans la troisième colonne.
On ne doit pas mentionner une valeur uniquement
Il faut enregistrer des créances clients de montant réel il y a risque d’engagement des clients
On doit respecter ces principes pour assurer une image fidèle du patrimoine d’entreprise.
Principe d’enregistrement dans la bonne période (spécialisation des exercices)
Imputation correcte
Lorsqu’on estime une immobilisation aux charges on trouverait un sur estimation des charges.
Principe d’information adéquate : les montant figurée aux états financiers doivent être annexe a des détails :
Classer des montants aux détailles par ordres pour faciliter le contrôle des montant détaillés.
Principe d’audit financier
Classer des montants aux détailles par ordres pour faciliter le contrôle des montant détaillés.
Principe d’audit financier
Anomalies :
Demander un emprunt à long terme pour finance actif circulant.
Augmentation des dettes et non augmentation de la charge financière
Fraude : complexité entre un interne et interne ou entre un interne et un externe
Déficiences majeures ;
Absence d’enregistrement comptable.
Absence des procédures du contrôle comptable
Demander un emprunt à long terme pour finance actif circulant.
Augmentation des dettes et non augmentation de la charge financière
Fraude : complexité entre un interne et interne ou entre un interne et un externe
Déficiences majeures ;
Absence d’enregistrement comptable.
Absence des procédures du contrôle comptable